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Reste zen, ne t’en fais pas !

Le deuxième accord Toltèque

Le deuxième des 4 accords Toltèques n’est en réalité qu’en dérivé du premier, dont je parle dans mon autre article Une parole impeccable. Et c’est assez logique puisque quand nous oublions le premier…nous donnons vie à ce deuxième.

Voilà un bel accord qui va créer de l’harmonie : quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle ! Car très souvent, ce que les autres peuvent vous dire de méchant ou vexant ne s’adresse pas forcément à vous…mais plutôt à eux-mêmes !

La clé du deuxième accord Toltèque

Il vous est déjà arrivé de tomber sur ce genre de personnes qui ne font qui critiquer ? Pour un certain nombre d’individus, il est beaucoup plus facile de fustiger les autres, les rabaisser, leur attribuer des fautes, plutôt que de le faire envers soi-même. Sauf qu’une fois atterris chez nous, ces mots nous blessent parce qu’ils réveillent des anciennes peurs, des anciennes blessures. Alors qu’en fait ils ont été prononcés en fonction d’un autre vécu qui n’est pas le nôtre. Résultat : nous finissons par y croire et par nous blesser nous-même à partir d’une idée qui nous n’était pas adressée ! Alors la clé est de ne pas tout ramener sur soi-même.

Une vraie spirale s’installe alors, celle qui nous porte à croire à tout ce qui nous dit l’autre. Alors qu’en réalité ce n’est une vérité à prendre à titre personnel. Ce sont les craintes, les faiblesses et les blessures de l’autre qui l’amènent à déplacer ses problèmes sur nous. Ce sont nos propres fragilités qui nous conduisent à y croire.

La voie indiqué par ce deuxième accord Toltèque

En croyant que l’autre s’adresse à nous, que ses mots parlent de nous, nous accordons trop d’importance à nous-même, nous recentrons tout sur nous Nous devenons égoïstes et notre propre égo fait tout le reste. Nous nous efforçons de nous défendre, de défendre nos idées ou notre façon d’être, nous commençons à douter de nous, nous rentrons dans un conflit sans fin. La voie pour s’en sortir est de ne pas se concentrer sur son égo.

S’accorder de l’importance, se prendre au sérieux ou faire de tout une affaire personnelle : voilà la plus grande manifestation d’égoïsme, puisque nous partons du principe que tout ce qui arrive nous concerne

Le deuxième accord Toltèques, Don Miguel Ruiz

Le deuxième accord Toltèque au quotidien

Arrêtons de prendre tout trop au sérieux dans la vie de tous les jours ! C’est comme ça que nous nous protégeons du poison que les autres peuvent nous envoyer. En arrêtant de tout prendre et de nous prendre toujours au sérieux nous vivons en paix !

Donc si quelqu’un nous dit que nous sommes trop gros, ou pas assez intelligent ou pas compétent, très probablement il s’agit de l’opinion qu’il a de lui-même, à tort ou à raison. Et c’est son problème. Un problème lié à sa façon de vivre, à ses convictions, à sa façon de se rapprocher aux autres. Aux accords conclus ou pas dans son esprit.

En définitive, il faudrait faire comme les enfants, s’inspirer d’un jeux qu’ils appellent 007 dans lequel, pour bloquer les attaques de l’adversaire, on met simplement ses mains devant son visage et en on prononce le mot ‘Bouclier’. Comme par magie, l’autre est figé et ses attaques finissent dans le vide, sans aucun bruit. Les enfant ont tout compris !

Pour revoir le premier des 4 accords Toltèques RDV dans mon autre article Une parole impeccable.

Cessons d’être le prétexte pour la colère de l’autre, laissons l’autre résoudre ses propres problèmes au lieu de venir les décharger sur nous.

Antonella B.

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